Les Dragons d'Isha

Comme apparemment vous postez ici l'histoire de votre armée, je vais moi aussi contribuer.
Je vais au cours de cette semaine passer quelques de mes soirées à lire mon fluff, pour la correspondence temporelle, et essayer de rédiger mes pensées nébulesques (et je fais des néologismes parce que je suis "tro tro fore").

LIVRE I : LE COMMENCEMENT

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Après l’incursion du chaos, et de la victoire des hauts elfes, commença une grande période de reconstruction, qui était aussi synonyme d’essor dans tous les domaines. Ainsi sous le règne du roi Phénix Bel-Shanaar, les hauts elfes commencèrent à coloniser le vieux monde, peu à peu, afin d’y trouver des richesses, et d’aller à la rencontre d’autres civilisations.
En -4127, Partis d'Avelorn, une modeste flotte de colons, fit escale près de la Tour Blanche, à la Tour Scintillante, et sur les cotes de Chrace avant de partir vers l'ouest, la cale remplie de vivres, ainsi que de quelques coursers ellyriens. A bord du convoi, se trouvaient donc des elfes des deux sexes, des guerriers, des agriculteurs, des nobles, des mages… bref toute la mosaïque des habitants de l’ile d’Ulthuan. Partis pour de nombreuses raisons, mais également poussés par la politique d'expansion du territoire des asur par Bel-Shanaar l'Explorateur. Celle-ci était devenue un veritable phénomène de mode. On ne partait plus que pour commencer une nouvelle vie, découvrir le monde, ou pour le commerce, on partait maintenant aussi pour la gloire de sa famille.
Le voyage se passa sans problèmes, malgré les quelques tempêtes que les marins elfes affrontèrent sans faiblir.
Au cours du deuxième mois de voyages, une poignée de voyageurs embarqués crurent apercevoir une immense forme voler dans le ciel, un dragon, selon certains, un navire volant, selon d’autres. La demi-douzaine de navires, suivit la direction dans laquelle était partie l’étrange forme, la considérant comme un bon présage et priant Isha pour trouver une terre fertile pour pouvoir s’y installer. Durant les quelques heures de voyage qui suivirent, le vent portait tout seul les embarcations elfiques, comme si les dieux les encourageaient dans leur décision. Les colons arrivèrent finalement dans un lieu qui n’avait comme égal de beauté que l’ile d’Ulthuan. C’était un archipel constitué de cinq îles principales, sur lesquelles se trouvaient des volcans. Quatre semblaient encore en activité. Du pont des navires les voyageurs pouvaient voir la vie grouillant dans les forêts et les plaines au pied des montagnes fumantes. Tantôt on voyait un homme-arbre bouger, tantôt un cerf faisant une brève apparition hors des bois. Au dessus des lacs de lave tournoyaient des aigles géants et des dragons, un ballet aérien d’écailles et de plumes. La mer aussi était animée par la vie, des wyrms de petite taille ondulaient aux cotés des elfes. Cet endroit semblait être protégé des énergies néfastes du chaos, et de partout irradiait un calme, qui apaisait l’esprit des maris. Cependant l’émerveillement provoqué part toutes ces choses chez les elfes n’était que moindre par rapport à ce qui attirait le regard de tous. Au dessus de leurs têtes se trouvait une ile, une ile volante…

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Le groupe de colons décida d’établir un campement sur l’ile principale. Les guerriers revêtirent leurs armures, et sellèrent leurs montures. A peine les encres jetées que les cavaliers bondirent hors des navires, leur monture galopant dans l’écume des vagues. Sur la plage, un noble divisa les patrouilleurs en 3 groupes. Deux équipes de cavalerie légère partirent en reconnaissance, lances et arc rangés, car l’ile semblait ce qu’il y a de plus pacifique. Un troisième groupe explora les environs proches, afin, non seulement de s’assurer de la sureté de la zone mais également de la présence de ressources.
Au retour de leur raid, les guerriers arrivèrent au campement installé par les autres elfes. Leur compte rendu de chacun des groupes mentionnait un sentiment d’observation, cependant aucun de guerriers n’avait su trouver la ou les personnes qui les observaient. Les elfes des mers embarqués à bord des vaisseaux, se mirent à construire un port de fortune afin de pouvoir partir à l’exploration des autres iles ainsi que d’essayer de trouver le vieux monde.
Au bout d’une semaine de dur labeur, les premières habitations étaient construites, les temples aux dieux érigés, le port fini. Les semences furent plantées, et nombreux furent ceux qui se rendirent au temple d’Isha, afin de prier pour une bonne récolte. La cité, que les elfes avaient décider de nommer Tor-Anailin commençait à se profiler. Ces derniers décidèrent de ne pas nommer ni l’archipel ni ses iles tant que leur origine leur serait inconnue. Les citoyens de Tor-Anailin désignèrent comme chef Hyaril, un jeune noble qui avait fait ses preuves lors de l’incursion du Chaos. C’est lui, qui le premier parmi les colons, vola, à dos du dragon Nevalth, qui s'était lié d'amitié avec les elfes des leur arrivée, jusqu’à l’ile volante.

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Hyaril survola l’ile qui semblait inhabitée, à l’exception de quelques esprits sylvains qui arrêtaient momentanément leurs jeux, pour regarder passer le majestueux dragon et son cavalier. La beauté de cet endroit égalait celle l’Avelorn, les forêts étaient denses, l’herbe au sol était d’un vert éclatant, et le soleil se reflétait sur les quelques lacs d’un bleu azur, qui étaient éparpillés un peu partout sur l’île.
Sur cet ile se trouvait un volcan, presque aussi grand que l’Enclume de Vaul. Sur toute la hauteur de l’édifice rocheux on pouvait voir des grottes fumantes, signes de la présence de nombreux dragons. Quand l’elfe arriva au sommet du volcan il tomba nez-à-nez avec un dragon gigantesque, ses écailles semblaient plus anciennes que le monde lui-même, ses dents semblaient à d’immenses lames, aussi longues qu’une lance, ses yeux étaient d'un orange rougeoyant, tel du magma en fusion. Le dragon ne semblait pas étonné de voir un elfe. Hyaril se présenta tout d’abord au dragon, avec tout le respect qu’un noble d’Ulthuan peut avoir, et lui demanda l’histoire de cette terre. Le dragon garda bien des secrets à l’égard de cet endroit mais indiqua à l’elfe que lui ainsi que ses compagnons de voyage, avaient des esprits et des pensées pures, puisqu’ils étaient capables de trouver ces iles. Le dragon apprit au jeune noble qu’une barrière magique enveloppait ces iles, toute personne dont les désirs sont malsains ne peut ni voir, ni pénétrer sur ces iles. Ce dragon, n’en dit pas beaucoup plus, et partit soudainement en plein milieu de la conversation. Hyaril se sentit irrité par l’arrogance du dragon, mais se dit plutôt qu’il devait remercier les dieux de lui avoir permis de trouver ce sanctuaire rempli de merveilles. En redescendant vers les autres elfes pour leur faire part de ses découvertes, le cavalier crût apercevoir des silhouettes dans les nuages, c’était des silhouettes élancées, comme celles d’elfes, cependant, elles étaient plus frêles. Lorsque Hyaril et son dragon tentèrent de les rejoindre, elles avaient disparu. Le guerrier raconta, ce qu’il avait vu, et tous les elfes étaient émerveillés. L’épisode des ombres dans le ciel, souleva un grand nombre de rumeurs. Ca et le sentiment d’observation qu’ont ressenti les guerriers lors de l’exploration de l’ile ; Il y avait quelque chose de mystérieux à propos de cet endroit.
Suite à cet événement commença une longue période de paix et de prospérité, couronnée par une forte amitié entre les créatures de l’ile et ses nouveaux arrivants.

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Mille ans étaient passés et les habitants de la cité de Tor Anailin vivaient à présent dans une véritable cité, en un millénaire l’influence de la cité avait explosé, devenant un véritable pôle économique et culturel. Les habitants avaient dû construire un comptoir plus au sud sur le Vieux Monde, Port Alenthir.
Autour des années -3000 le culte du plaisir corrompt nombreux elfes qui se laissent enivrer par les plaisirs, qui deviennent alors des serviteurs de Slaanesh, dieu maléfique de la luxure. Véritable corruption de l’âme, elle touche surtout les nagarythes. Tor Anailin et son comptoir, restèrent intouchés par ce fléau. Aucun elfe ne se laisse séduire par le Chaos.
En -2839, Bel-Shanaar se rend a Karaz-a-Karak, en tant qu’ami des nains, chargé de nombreux présents en gage d’amitié. Le nouveau seigneur de Tor Anailin, qui avait succédé à Hyalnir, Caleldaer Blanche-Lame suivit l’exemple et se rendit dans la forteresse naine de Karak Kuqqar dans les montagnes grises. Il y rencontre le Haut-roi Dwaïn Poings de Feu avec lequel il se lie d’amitié. Le commerce avec les nains prend une grande ampleur, les elfes apportant des potions magiques, des tissus et des épices, les nains fournissaient des métaux, des pierres, et de la bière.
Ils combattirent même ensemble de longues années sous les couleurs d’une même bannière, contre le Chaos, mais aussi contre les Orques, race d’êtres à la peau verte, dotés d’une simple intelligence primaire. Le nom de Caleldaer fut inscrit dans le livre des amis.

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En -2750 la guerre civile commenca réellement, Malekith trahit Bel-Shanaar et l’assassine. Il tentera de passer par la flamme sacrée du temple d’Asuryan, mais sera horriblement brûlé.
Après sa défaite face au nouveau Roi Phénix, Caledor I, il s’enfuit à Nagarythe, en ayant préalablement coulé une grande partie d’Ulthuan avec l’aide des sorciers renégats. Ulthuan perdit alors contact avec ses colonies sur le vieux monde. Les Hauts-elfes chassèrent les elfes noirs d’Ulthuan. Qui partirent s’installer au Nord du nouveau monde, près des désolations du Chaos, les terres de Naggaroth. Caledor II arriva au pouvoir suite à la mort de Caledor le Conquerant lors de sa capture par les elfes noirs. Une grande période de reconstruction commença. Les colonies devinrent plus que d’une importance mineure, furent plus ou moins indépendantes d’Ulthuan ainsi que du Roi Phénix.
Les elfes noirs de Malekith le Roi Sorcier, se déguisèrent et firent croire aux nains que les hauts elfes ont effectués des raids contre des caravanes naines. Les discutions diplomatiques échouèrent à régler le problème et Caledor II, renvoya le corpus diplomatique nain, avec la barbe rasée. La guerre de la barbe éclata. Les elfes d’Ulthuan, défaits, perdirent la couronne du Phénix en -1600, récupérée par Gotrek Brise Étoile sur le cadavre de Caledor II.
Tor Anailin, s’étant posée comme indépendante et neutre, n’entretenait que très peu les relations avec Karak Kuqqar et avec Ulthuan.
C’est Caradryel, 5e Roi Phénix, qui en ordonnant aux colonies de se rapatrier vers Ulthuan, en -1589 afin de se protéger des attaques des Naggarothi, que la colonie de Tor Anailin reprit de l’importance. La plupart des soldats et les mages de bataille de la colonie furent envoyés combattre leurs sombres cousins, laissant sur l’ile leurs épouses et leurs enfants, sous la protection des dragons et des la poignée de guerriers restants.

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Les attaques des druchii nombreuses, les guerriers durent s’installer plus durablement en Ulthuan. Les autres habitants de Tor Anailin furent obligés de quitter leur terre pour venir sur le continent. Laissant à l’abandon leur ile.
Ces elfes n’avaient d’autre choix que de faire à nouveau partie intégrante du peupe d’Ulthuan

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LIVRE II : RENAISSANCE



Les dragons ne sont que des rares légendes vivantes, les richesses des anciennes colonies d’Ulthuan ne sont plus que le reflet oublié de l’ancienne puissance de l’empire des asurs.
En 2001 après le couronnement de Sigmar, Finubar par pour le Vieux monde afin de découvrir les humains qui sans cesse, débarquent à Ulthuan, croyant trouver les cités d’or de Lustrie. Le Roi Phénix Bel-Hathor fournit à Finubar une flotte incroyable. Deux vaisseaux Dragon, six vaisseaux Aigle et douze Eperviers, le tout était accompagné par deux dragons lunaires et cinq griffons.
A bord de sa flotte se trouvaient une flopée de personnages importants parmi eux Nianna D’Avelorn, une servante de la Reine Eternelle et Ethrilis Brumeargent, un mage qui malgré son talent, notamment dans la maîtrise de la véritable magie, Qhaysh, pour ses expérimentations, qui étaient qualifiés de déviantes par les Maîtres du Savoir.
Une fois passée l’Ile d’Albion, Finubar qui se tenait sur le pont du Phénix Intrépide vit au loin dans les airs, une forme bizarre qui attira son attention. Finubar ordonna à sa flotte de changer de cap, et remonta un peu plus vers le Nord. Les griffons partis en éclaireurs, revinrent et donnèrent une description d’une ile comma jamais, de mémoire d’elfe, on avait vu. L’armada elfe pénétra dans l’archipel à l’ile volante. Au loin on pouvait voir l’ancienne ville de Tor Anailin, cette ville de légende qui se trouvait dans un havre de paix protégé par une barrière magique et par les dragons, gardiens éternels des lieux. Dans tout l’archipel ces créatures volaient encore, comme au temps de l’apogée du royaume de Caledor. En s’approchant de l’ancienne cité les elfes virent une certaine agitation dans la ville qui était supposément déserte, on aurait dit des elfes. Restait-il encore des elfes qui n’étaient pas rentrés lors de l’appel de Caradryel ? Le calme se fit au bout de quelques minutes de nombreux objets grands à peu près comme deux chars s’élevèrent de la cité, et s’envolèrent au loin à une vitesse incroyable.
En arrivant dans le port de Tor Anailin, les elfes furent surpris de ne trouver personne, alors que quelques minutes auparavant il y avait des silhouettes d’elfes. L’autre chose qui surprit les compagnons de Finubar était que la cité était dans un parfait état, aucun signe du temps, la nature n’y avait même pas repris ses droits, tout semblait comme si la ville avait été abandonnée qu’il n’y a que quelques heures…

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Un grand nombre d’elfes firent savoir leur volonté de rester sur l’ile, et même de s’y installer durablement. Finubar qui savait que le Roi Phénix ne serait pas content, n’arrivait malgré ça, à leur refuser ce droit. Même lui était attiré et obnubilé par la magie des lieux. Le Prince d’Eataine, donna sa bénédiction pour leur installation, mais si toutefois ils l’accompagnaient dans sa visite du vieux monde.
C’est ainsi que les elfes se mirent en route vers le sud proche. Finubar et l’ost qui l’accompagnait sur les terres furent abasourdis, là où ils s’attendaient a voir des maisons de terre ils virent de puissantes cités que la race des Hommes avaient bâties. Finubar visita tout d’abord les châteaux des bretonniens, construits sur les ruines d’anciennes cités elfes par les suivants de la mystérieuse Dame du Lac.
Finubar se rendirent ensuite aux abords de la forêt d’Athel Lorren, lieu de résidence des elfes sylvains, elfes qui ont lié leur vie à celle de la forêt et qui adoptèrent un mode de vie rustique. Enfin Finubar, visita l’Empire et ses villes immenses.
Sur le chemin du retour Finubar accosta à Tor Anailin, et laissa quelques uns des bateaux de sa flotte pour les nouveaux habitants. Nianna D’Avelors et Ethrilis Brumeargent insisèrent eux aussi pour rester sur l’archipel.
A son retour sur Ulthuan, Finubar fut accueilli comme un héros et le commerce entre les hommes et les elfes, et le commerce des elfes prit une ampleur comme jamais auparavant, transformant Tor Anailin en un poste stratégique économiquement, politiquement et militairement.

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Ethrilis Brumeargent n’avait qu’une envie depuis qu’il avait vu l’ile volante, c’était de l’explorer et de l’étudier. A l’aide d’un aigle, il fut amené sur les rivages de l’ile. Le mage avança de quelque pas et ressentit une étrange magie, l’ile ne flottait pas dans des conditions naturelles mais grâce à une magie puissante. Ethrilis s’assit alors dans l’herbe verte et commença à méditer. Il écouta le vent, il écouta les arbres, il écouta la terre. Ethrilis voulut essayer la prédominance des vents mais, contre toute attente aucun des huit domaines connus n’était prédominant. Il restait la possibilité que ce soit un mélange de vents de magies, mais la Haute Magie ne se ressentait pas dans les environs. Ethrilis frémit en pensant à la dernière possibilité connue, le maniement du mélange impur des vents de magie, à la manière des druchii, la Dhar. Cependant si c’était de la Magie Noire, le mage l’aurait ressentie… Ethrilis émit alors une hypothèse des plus incroyables, l’ile volait grâce à la magie d’un neuvième vent…
Nianna D’Avelorn, ainsi que sa garde personnelle faisaient partie des guerrières les plus talentueuses d’Ulthuan et étaient des magiciennes hors paires dans la Haute Magie et la Couleur Jade. Ces elfes investirent le temple d’Isha et y construisirent une annexe pour qu’elles puissent y résider et s’entraîner sous la bénédiction de la déesse. Nianna s’intéressa de plus près à l’histoire des elfes qui avaient vécu ici. En fouillant dans les archives des différents temples, elle retrouva de nombreux témoignages tous similaires, traitent d’apparition d’elfes ou de formes s’apparentant à des elfes dans les nuages…

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Cela faisait dix ans que les elfes s’étaient installés à Tor Anailin , la cité prospérait et avait regagné sa gloire d’antan, le comptoir situé sur les rives de l’ancien monde était un carrefour du commerce. Cela faisait dix ans également que l’on n’avait plus vu Ethrilis, et que personne ne s’était rendu sur l’ile au-dessus de leurs têtes. Un jour on vit descendre un rocher du ciel, lentement, comme s’il n’était pas affecté par la gravité, lors qu’il n’était qu’à quelques dizaines de mètres au-dessus du sol de la Grande Place, on pouvait voir que sur ce rocher se tenait le mage. Il fit tout d’abord part de ses déductions ; Ulthuan, flotte sur l’océan. Cet ile flotte dans les airs. Les plantes et les créatures que l’on peut y rencontrer sont similaires à celles d’Avelorn. Ethrilis arriva donc à la conclusion qu’Ulthuan était autrefois, avant qu’elle soit peuplée par les asurs, une ile volante. Cette ile devait très sûrement faire partie de l’ile originelle d’Ulthuan et à dû être sauvée de sa chute dans les mers et à dérivée au fil du temps jusqu’à l’ancien monde. L’ile volante prit le nom de L’ile des Larmes car se seraient les larmes de la déesse Isha qui auraient sauvé ce bout de terre de sa chute dans l’océan. Ethrilis Brumeargent leur montra aussi qu’il avait réussi à maîtriser un nouveau domaine, de couleur marron, Sahryi. Le mage leur fit une courte démonstration de ses nouveaux pouvoirs en transformant sa peau en pierre et en faisant léviter des roches. À la fin de sa démonstration, Ethrilis fit envoyer un Aigle à Hoeth pour faire part aux Maîtres du Savoir et au grand Teclis de ses découvertes.

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Port Alenthir avait grandi et pris une certaine importance, si L’ile des Larmes et ses iles voisines étaient protégées par un voile magique, le comptoir restait quand à lui tout à fait vulnérable aux attaques. Les hommes-bêtes, créatures hideuses du Chaos, hommes ayant perdu toute leur humanité, menaient fréquemment des raids contre la ville, mais la garnison présente était très largement suffisante pour les défaire. Du Nord-Est on vit venir par la mer des bâtiments marins étranges, ceux-ci ressemblaient à un tas de déchets qui tenaient ensemble par magie. Même si l’on ne pouvait pas voir de qu’il il s’agissait on pouvait cependant entendre le son d’une cloche, le bruit glaçait le sang de tous ceux qui se trouvaient dans la cité, son tint rauque résonant comme une souillure dans les environs.
Le sol trembla à se moment ci, ouvrant d’énormes failles sur le sol. De ses failles commencèrent à sortir des hommes-rats, les Skaven. Transformés par l’énergie impie de la malepierre, ils vivent dans des tunnels dans les sous-sols du monde.
Les crevasses vomissaient intarissablement des hordes de rats, qui semaient le chaos dans la ville, et qui tuaient tout ceux qui se trouvaient sur le passage. La garde de Port Alentir fut très vite inférieure en nombre par rapport aux envahisseurs. Leur premier réflexe fut donc de lancer un appel à l’aide à la flotte stationnée à Tor Anailin. Les soldats de la ville furent réduits à de simples groupes de résistance face au nombre toujours croissant de skavens. De plus si les navires qui se trouvaient au loin, s’avéraient être une flotte skaven, la ville serait entièrement rasée.
À Tor Anailin la foule était encore rassemblée d’Ethrilis Brumeargen qui tentait d’expliquer à ses semblables le fonctionnement de cette nouvelle forme de magie, quand on reçut les nouvelles de l’attaque de Port Alenthir. Tous les elfes se préparèrent alors, il enfilèrent leurs armures et amenèrent leurs montures dans les navires qui s’apprêtaient à partir, les princes dragons quand à eux sautèrent sur ces créatures de légende. Ethrilis fit alors quelque chose d’inattendu, il réunit les mages hors de la ville, et souleva le sol sur lequel ils se trouvaient, pour qu’il puissent partir à la guerre, sur une position dominant le champ de bataille.
L’armée elfe brillait de mille feux, les bannières bleues flottaient au vent, les armures d’ithilmar scintillaient au soleil. Les dragons volaient au-dessus des navires, crachant de temps à autre des flammes en guise de cris de guerre.

Euh ....
Je veux pas dire, mais tu me fais vraiment chier a toujours faire des trucs bien Constantin xD

Maintenant, mon fluff a l'air bien merdique comparé au tien ^^
Très belle histoire ! C'est une bonne idée d'avoir profité du règne de Bel-Shanaar pour expliquer le départ des colons. Et sympa l'idée de l'ile volante ^^

Le groupe de colons décida d’établir un campement sur l’ile principale. Les guerriers revêtirent leurs armures, et sellèrent leurs montures. A peine les encres jetées que les cavaliers bondirent hors des navires, leur monture galopant dans l’écume des vagues. Sur la plage, un noble divisa les patrouilleurs en 3 groupes. Deux équipes de cavalerie légère partirent en reconnaissance, lances et arc rangés, car l’ile semblait ce qu’il y a de plus pacifique. Un troisième groupe explora les environs proches, afin, non seulement de s’assurer de la sureté de la zone mais également de la présence de ressources.
Au retour de leur raid, les guerriers arrivèrent au campement installé par les autres elfes. Leur compte rendu de chacun des groupes mentionnait un sentiment d’observation, cependant aucun de guerriers n’avait su trouver la ou les personnes qui les observaient. Les elfes des mers embarqués à bord des vaisseaux, se mirent à construire un port de fortune afin de pouvoir partir à l’exploration des autres iles ainsi que d’essayer de trouver le vieux monde.
Au bout d’une semaine de dur labeur, les premières habitations étaient construites, les temples aux dieux érigés, le port fini. Les semences furent plantées, et nombreux furent ceux qui se rendirent au temple d’Isha, afin de prier pour une bonne récolte. La cité, que les elfes avaient décider de nommer Tor-Anailin commençait à se profiler. Ces derniers décidèrent de ne pas nommer ni l’archipel ni ses iles tant que leur origine leur serait inconnue. Les citoyens de Tor-Anailin désignèrent comme chef Hyaril, un jeune noble qui avait fait ses preuves lors de l’incursion du Chaos. C’est lui, qui le premier parmi les colons, vola, à dos du dragon Nevalth, qui s'était lié d'amitié avec les elfes des leur arrivée, jusqu’à l’ile volante.

ouaip faut jusye connaitre un minimun les haut elfe pour capter tout mais sinon joli histoire t ecris bien

J'ai essayé de faire assez simple, pour que tout le monde puisse comprendre sans vraiment connaître le fluff WFB et HE mais aussi avec quelques détails un peu plus précis pour donner donner un aspect "gourmand croquant"

Les fils d'Arda a écrit:Euh ....
Je veux pas dire, mais tu me fais vraiment chier a toujours faire des trucs bien Constantin xD

Maintenant, mon fluff a l'air bien merdique comparé au tien ^^
Très belle histoire ! C'est une bonne idée d'avoir profité du règne de Bel-Shanaar pour expliquer le départ des colons. Et sympa l'idée de l'ile volante ^^

J'ai lu ton fluff, il n'a pas a rougir.
Le mien sera peut être plus étoffé, parce que c'est mon projet secondaire à ma peinture, je vais me faire imprimer un livre avec ça dedans un peu comme le Codex/LA, avec des unités perso, des scenari, donc il me faut du fluff assez solide pour les unités.




Hyaril survola l’ile qui semblait inhabitée, à l’exception de quelques esprits sylvains qui arrêtaient momentanément leurs jeux, pour regarder passer le majestueux dragon et son cavalier. La beauté de cet endroit égalait celle l’Avelorn, les forêts étaient denses, l’herbe au sol était d’un vert éclatant, et le soleil se reflétait sur les quelques lacs d’un bleu azur, qui étaient éparpillés un peu partout sur l’île.
Sur cet ile se trouvait un volcan, presque aussi grand que l’Enclume de Vaul. Sur toute la hauteur de l’édifice rocheux on pouvait voir des grottes fumantes, signes de la présence de nombreux dragons. Quand l’elfe arriva au sommet du volcan il tomba nez-à-nez avec un dragon gigantesque, ses écailles semblaient plus anciennes que le monde lui-même, ses dents semblaient à d’immenses lames, aussi longues qu’une lance, ses yeux étaient d'un orange rougeoyant, tel du magma en fusion. Le dragon ne semblait pas étonné de voir un elfe. Hyaril se présenta tout d’abord au dragon, avec tout le respect qu’un noble d’Ulthuan peut avoir, et lui demanda l’histoire de cette terre. Le dragon garda bien des secrets à l’égard de cet endroit mais indiqua à l’elfe que lui ainsi que ses compagnons de voyage, avaient des esprits et des pensées pures, puisqu’ils étaient capables de trouver ces iles. Le dragon apprit au jeune noble qu’une barrière magique enveloppait ces iles, toute personne dont les désirs sont malsains ne peut ni voir, ni pénétrer sur ces iles. Ce dragon, n’en dit pas beaucoup plus, et partit soudainement en plein milieu de la conversation. Hyaril se sentit irrité par l’arrogance du dragon, mais se dit plutôt qu’il devait remercier les dieux de lui avoir permis de trouver ce sanctuaire rempli de merveilles. En redescendant vers les autres elfes pour leur faire part de ses découvertes, le cavalier crût apercevoir des silhouettes dans les nuages, c’était des silhouettes élancées, comme celles d’elfes, cependant, elles étaient plus frêles. Lorsque Hyaril et son dragon tentèrent de les rejoindre, elles avaient disparu. Le guerrier raconta, ce qu’il avait vu, et tous les elfes étaient émerveillés. L’épisode des ombres dans le ciel, souleva un grand nombre de rumeurs. Ca et le sentiment d’observation qu’ont ressenti les guerriers lors de l’exploration de l’ile ; Il y avait quelque chose de mystérieux à propos de cet endroit.
Suite à cet événement commença une longue période de paix et de prospérité, couronnée par une forte amitié entre les créatures de l’ile et ses nouveaux arrivants.

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Mille ans étaient passés et les habitants de la cité de Tor Anailin vivaient à présent dans une véritable cité, en un millénaire l’influence de la cité avait explosé, devenant un véritable pôle économique et culturel. Les habitants avaient dû construire un comptoir plus au sud sur le Vieux Monde, Port Alenthir.
Autour des années -3000 le culte du plaisir corrompt nombreux elfes qui se laissent enivrer par les plaisirs, qui deviennent alors des serviteurs de Slaanesh, dieu maléfique de la luxure. Véritable corruption de l’âme, elle touche surtout les nagarythes. Tor Anailin et son comptoir, restèrent intouchés par ce fléau. Aucun elfe ne se laisse séduire par le Chaos.
En -2839, Bel-Shanaar se rend a Karaz-a-Karak, en tant qu’ami des nains, chargé de nombreux présents en gage d’amitié. Le nouveau seigneur de Tor Anailin, qui avait succédé à Hyalnir, Caleldaer Blanche-Lame suivit l’exemple et se rendit dans la forteresse naine de Karak Kuqqar dans les montagnes grises. Il y rencontre le Haut-roi Dwaïn Poings de Feu avec lequel il se lie d’amitié. Le commerce avec les nains prend une grande ampleur, les elfes apportant des potions magiques, des tissus et des épices, les nains fournissaient des métaux, des pierres, et de la bière.
Ils combattirent même ensemble de longues années sous les couleurs d’une même bannière, contre le Chaos, mais aussi contre les Orques, race d’êtres à la peau verte, dotés d’une simple intelligence primaire. Le nom de Caleldaer fut inscrit dans le livre des amis.

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En -2750 la guerre civile commenca réellement, Malekith trahit Bel-Shanaar et l’assassine. Il tentera de passer par la flamme sacrée du temple d’Asuryan, mais sera horriblement brûlé.
Après sa défaite face au nouveau Roi Phénix, Caledor I, il s’enfuit à Nagarythe, en ayant préalablement coulé une grande partie d’Ulthuan avec l’aide des sorciers renégats. Ulthuan perdit alors contact avec ses colonies sur le vieux monde. Les Hauts-elfes chassèrent les elfes noirs d’Ulthuan. Qui partirent s’installer au Nord du nouveau monde, près des désolations du Chaos, les terres de Naggaroth. Caledor II arriva au pouvoir suite à la mort de Caledor le Conquerant lors de sa capture par les elfes noirs. Une grande période de reconstruction commença. Les colonies devinrent plus que d’une importance mineure, furent plus ou moins indépendantes d’Ulthuan ainsi que du Roi Phénix.
Les elfes noirs de Malekith le Roi Sorcier, se déguisèrent et firent croire aux nains que les hauts elfes ont effectués des raids contre des caravanes naines. Les discutions diplomatiques échouèrent à régler le problème et Caledor II, renvoya le corpus diplomatique nain, avec la barbe rasée. La guerre de la barbe éclata. Les elfes d’Ulthuan, défaits, perdirent la couronne du Phénix en -1600, récupérée par Gotrek Brise Étoile sur le cadavre de Caledor II.
Tor Anailin, s’étant posée comme indépendante et neutre, n’entretenait que très peu les relations avec Karak Kuqqar et avec Ulthuan.
C’est Caradryel, 5e Roi Phénix, qui en ordonnant aux colonies de se rapatrier vers Ulthuan, en -1589 afin de se protéger des attaques des Naggarothi, que la colonie de Tor Anailin reprit de l’importance. La plupart des soldats et les mages de bataille de la colonie furent envoyés combattre leurs sombres cousins, laissant sur l’ile leurs épouses et leurs enfants, sous la protection des dragons et des la poignée de guerriers restants.

Toujours aussi sympathique

Il me tarde de voir THE grosse baston (comme tout fluff qui se respecte ^^) !

hahaha Les nains son juste epic je les adore raser la barbe du messager erreur fatale petit elfe^^

Les attaques des druchii nombreuses, les guerriers durent s’installer plus durablement en Ulthuan. Les autres habitants de Tor Anailin furent obligés de quitter leur terre pour venir sur le continent. Laissant à l’abandon leur ile.
Ces elfes n’avaient d’autre choix que de faire à nouveau partie intégrante du peupe d’Ulthuan

Ha non hein ! T'as pas intéret a finir ton fluff comme ça, vilain garnement ^^

ca finit bizzare et ce pas un fin cool on reste sur notre faim d ailleur

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Une petite carte sur totoshop à l'arrache pour me la peter!

Et j'ai aussi tout réuni dans le premier post. Ca fait un sacré paté finalement !

@ mes deux petits followers : Sachez que cette histoire s'arrête vraiment. Les habitants de Tor Anailin ne vont jamais y retourner, leurs enfants seront des continentaux....
Mais c'est le premier tome de l'histoire des dragons d'Isha. J'ai commencé à écrire le deuxième j'ai fini le premier chapitre et entamé le deuxième mais je dois encore travailler deux, trois détails. En tout cas je peux vous dire que ça se passe plus de trois mille ans après, soit en 2000 et des brouettes après Sigmar. Je peux aussi vous dire c'est l'époque ou Finubar va explorer le vieux monde

sigmar je vois qui ce finubar sais pas xD

Finubar est le Roi Phénix actuel, c'est un grand voyageur et un grand diplomate (en plus d'être un guerrier) C'est lui qui va voyager dans le vieux monde et nouer des liens avec les Hommes, c'est après lui que Teclis, le mage, va créer les colleges de magie à Altdorf.

Double-post parce que voilà, et 5 chapitres d'un coup parce que f*** you.


LIVRE II : RENAISSANCE



Les dragons ne sont que des rares légendes vivantes, les richesses des anciennes colonies d’Ulthuan ne sont plus que le reflet oublié de l’ancienne puissance de l’empire des asurs.
En 2001 après le couronnement de Sigmar, Finubar par pour le Vieux monde afin de découvrir les humains qui sans cesse, débarquent à Ulthuan, croyant trouver les cités d’or de Lustrie. Le Roi Phénix Bel-Hathor fournit à Finubar une flotte incroyable. Deux vaisseaux Dragon, six vaisseaux Aigle et douze Eperviers, le tout était accompagné par deux dragons lunaires et cinq griffons.
A bord de sa flotte se trouvaient une flopée de personnages importants parmi eux Nianna D’Avelorn, une servante de la Reine Eternelle et Ethrilis Brumeargent, un mage qui malgré son talent, notamment dans la maîtrise de la véritable magie, Qhaysh, pour ses expérimentations, qui étaient qualifiés de déviantes par les Maîtres du Savoir.
Une fois passée l’Ile d’Albion, Finubar qui se tenait sur le pont du Phénix Intrépide vit au loin dans les airs, une forme bizarre qui attira son attention. Finubar ordonna à sa flotte de changer de cap, et remonta un peu plus vers le Nord. Les griffons partis en éclaireurs, revinrent et donnèrent une description d’une ile comma jamais, de mémoire d’elfe, on avait vu. L’armada elfe pénétra dans l’archipel à l’ile volante. Au loin on pouvait voir l’ancienne ville de Tor Anailin, cette ville de légende qui se trouvait dans un havre de paix protégé par une barrière magique et par les dragons, gardiens éternels des lieux. Dans tout l’archipel ces créatures volaient encore, comme au temps de l’apogée du royaume de Caledor. En s’approchant de l’ancienne cité les elfes virent une certaine agitation dans la ville qui était supposément déserte, on aurait dit des elfes. Restait-il encore des elfes qui n’étaient pas rentrés lors de l’appel de Caradryel ? Le calme se fit au bout de quelques minutes de nombreux objets grands à peu près comme deux chars s’élevèrent de la cité, et s’envolèrent au loin à une vitesse incroyable.
En arrivant dans le port de Tor Anailin, les elfes furent surpris de ne trouver personne, alors que quelques minutes auparavant il y avait des silhouettes d’elfes. L’autre chose qui surprit les compagnons de Finubar était que la cité était dans un parfait état, aucun signe du temps, la nature n’y avait même pas repris ses droits, tout semblait comme si la ville avait été abandonnée qu’il n’y a que quelques heures…

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Un grand nombre d’elfes firent savoir leur volonté de rester sur l’ile, et même de s’y installer durablement. Finubar qui savait que le Roi Phénix ne serait pas content, n’arrivait pas à leur refuser ce droit. Même lui était attiré et obnubilé par la magie des lieux. Le Prince d’Eataine, donna sa bénédiction pour leur installation, mais si toutefois ils l’accompagnaient dans sa visite du vieux monde.
C’est ainsi que les elfes se mirent en route vers le sud proche. Finubar et l’ost qui l’accompagnait sur les terres furent abasourdis, là où ils s’attendaient a voir des maisons de terre ils virent de puissantes cités que la race des Hommes avaient bâties. Finubar visita tout d’abord les châteaux des bretonniens, construits sur les ruines d’anciennes cités elfes par les suivants de la mystérieuse Dame du Lac.
Finubar se rendirent ensuite aux abords de la forêt d’Athel Lorren, lieu de résidence des elfes sylvains, elfes qui ont lié leur vie à celle de la forêt et qui adoptèrent un mode de vie rustique. Enfin Finubar, visita l’Empire et ses villes immenses.
Sur le chemin du retour Finubar accosta à Tor Anailin, et laissa quelques uns des bateaux de sa flotte pour les nouveaux habitants. Nianna D’Avelors et Ethrilis Brumeargent insisèrent eux aussi pour rester sur l’archipel.
A son retour sur Ulthuan, Finubar fut accueilli comme un héros et le commerce entre les hommes et les elfes, et le commerce des elfes prit une ampleur comme jamais auparavant, transformant Tor Anailin en un poste stratégique économiquement, politiquement et militairement.

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Ethrilis Brumeargent n’avait qu’une envie depuis qu’il avait vu l’ile volante, c’était de l’explorer et de l’étudier. A l’aide d’un aigle, il fut amené sur les rivages de l’ile. Le mage avança de quelque pas et ressentit une étrange magie, l’ile ne flottait pas dans des conditions naturelles mais grâce à une magie puissante. Ethrilis s’assit alors dans l’herbe verte et commença à méditer. Il écouta le vent, il écouta les arbres, il écouta la terre. Ethrilis voulut essayer la prédominance des vents mais, contre toute attente aucun des huit domaines connus n’était prédominant. Il restait la possibilité que ce soit un mélange de vents de magies, mais la Haute Magie ne se ressentait pas dans les environs. Ethrilis frémit en pensant à la dernière possibilité connue, le maniement du mélange impur des vents de magie, à la manière des druchii, la Dhar. Cependant si c’était de la Magie Noire, le mage l’aurait ressentie… Ethrilis émit alors une hypothèse des plus incroyables, l’ile volait grâce à la magie d’un neuvième vent…
Nianna D’Avelorn, ainsi que sa garde personnelle faisaient partie des guerrières les plus talentueuses d’Ulthuan et étaient des magiciennes hors paires dans la Haute Magie et la Couleur Jade. Ces elfes investirent le temple d’Isha et y construisirent une annexe pour qu’elles puissent y résider et s’entraîner sous la bénédiction de la déesse. Nianna s’intéressa de plus près à l’histoire des elfes qui avaient vécu ici. En fouillant dans les archives des différents temples, elle retrouva de nombreux témoignages tous similaires, traitent d’apparition d’elfes ou de formes s’apparentant à des elfes dans les nuages…

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Cela faisait dix ans que les elfes s’étaient installés à Tor Anailin , la cité prospérait et avait regagné sa gloire d’antan, le comptoir situé sur les rives de l’ancien monde était un carrefour du commerce. Cela faisait dix ans également que l’on n’avait plus vu Ethrilis, et que personne ne s’était rendu sur l’ile au-dessus de leurs têtes. Un jour on vit descendre un rocher du ciel, lentement, comme s’il n’était pas affecté par la gravité, lors qu’il n’était qu’à quelques dizaines de mètres au-dessus du sol de la Grande Place, on pouvait voir que sur ce rocher se tenait le mage. Il fit tout d’abord part de ses déductions ; Ulthuan, flotte sur l’océan. Cet ile flotte dans les airs. Les plantes et les créatures que l’on peut y rencontrer sont similaires à celles d’Avelorn. Ethrilis arriva donc à la conclusion qu’Ulthuan était autrefois, avant qu’elle soit peuplée par les asurs, une ile volante. Cette ile devait très sûrement faire partie de l’ile originelle d’Ulthuan et à dû être sauvée de sa chute dans les mers et à dérivée au fil du temps jusqu’à l’ancien monde. L’ile volante prit le nom de L’ile des Larmes car se seraient les larmes de la déesse Isha qui auraient sauvé ce bout de terre de sa chute dans l’océan. Ethrilis Brumeargent leur montra aussi qu’il avait réussi à maîtriser un nouveau domaine, de couleur marron, Sahryi. Le mage leur fit une courte démonstration de ses nouveaux pouvoirs en transformant sa peau en pierre et en faisant léviter des roches. À la fin de sa démonstration, Ethrilis fit envoyer un Aigle à Hoeth pour faire part aux Maîtres du Savoir et au grand Teclis de ses découvertes.

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Port Alenthir avait grandi et pris une certaine importance, si L’ile des Larmes et ses iles voisines étaient protégées par un voile magique, le comptoir restait quand à lui tout à fait vulnérable aux attaques. Les hommes-bêtes, créatures hideuses du Chaos, hommes ayant perdu toute leur humanité, menaient fréquemment des raids contre la ville, mais la garnison présente était très largement suffisante pour les défaire. Du Nord-Est on vit venir par la mer des bâtiments marins étranges, ceux-ci ressemblaient à un tas de déchets qui tenaient ensemble par magie. Même si l’on ne pouvait pas voir de qu’il il s’agissait on pouvait cependant entendre le son d’une cloche, le bruit glaçait le sang de tous ceux qui se trouvaient dans la cité, son tint rauque résonant comme une souillure dans les environs.
Le sol trembla à se moment ci, ouvrant d’énormes failles sur le sol. De ses failles commencèrent à sortir des hommes-rats, les Skaven. Transformés par l’énergie impie de la malepierre, ils vivent dans des tunnels dans les sous-sols du monde.
Les crevasses vomissaient intarissablement des hordes de rats, qui semaient le chaos dans la ville, et qui tuaient tout ceux qui se trouvaient sur le passage. La garde de Port Alentir fut très vite inférieure en nombre par rapport aux envahisseurs. Leur premier réflexe fut donc de lancer un appel à l’aide à la flotte stationnée à Tor Anailin. Les soldats de la ville furent réduits à de simples groupes de résistance face au nombre toujours croissant de skavens. De plus si les navires qui se trouvaient au loin, s’avéraient être une flotte skaven, la ville serait entièrement rasée.
À Tor Anailin la foule était encore rassemblée d’Ethrilis Brumeargen qui tentait d’expliquer à ses semblables le fonctionnement de cette nouvelle forme de magie, quand on reçut les nouvelles de l’attaque de Port Alenthir. Tous les elfes se préparèrent alors, il enfilèrent leurs armures et amenèrent leurs montures dans les navires qui s’apprêtaient à partir, les princes dragons quand à eux sautèrent sur ces créatures de légende. Ethrilis fit alors quelque chose d’inattendu, il réunit les mages hors de la ville, et souleva le sol sur lequel ils se trouvaient, pour qu’il puissent partir à la guerre, sur une position dominant le champ de bataille.
L’armée elfe brillait de mille feux, les bannières bleues flottaient au vent, les armures d’ithilmar scintillaient au soleil. Les dragons volaient au-dessus des navires, crachant de temps à autre des flammes en guise de cris de guerre.




Si jamais vous avez des idées de nom pour la prochaine bataille Moi j'ai pas trouvé grand chose...
Où est-ce que je poste les regles perso Ici pour la continuité fluffique ou ailleurs parce que c'est pas vraiment adapté ?

Tu peux la poster ailleurs ...
Dans la rubrique tacticas et tuto, y l'onglet : autres
J'trouve que c'est le meilleur endroit pour les régles perso !
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Voilou.

@Tharg : Finubar le voyageur est un roi haut-elfes (surement l'un des plus important à mon goût). Faut lire le codex H-E ...
Et vu que la retranscription est interdite, je te montrerais ca au prochain repas

Si tu veux des nom pour la bataille pas de probleme donc :

_La Bataille de Port Alenthir. (classique mais joli)
_La chute de Port Alenthir...ou la reprise de Port Alenthir(selon ton choix)
_ou en 2partie tu met en 1er Le Déferlement des Skavens.
_et en 2eme La Contre-Attaque Elfiques.

voila voila ^^

J'y ai pensé à la bataille de Port Alnethir (c'est une bataille à port alenthir quoi...), mais j'ai pensé que ça allait faire un peu doublon avec l'attaque de Port Alenthir. R'marque ça me fait de la continuité quelque part!
Mais comme une grande partie va se passer en haute mer (YARRR), je me demande si bataille fait bien, R'marque y'a les batailles navales...

La chute ou la reprise ne collent pas vraiment parce qu'il ne l'ont (ne vont) pas totalement la perde. Au pire je posterais sans titre puis on verra ça après...

Ca me fait quand même vachement plaisir que vous suiviez attentivement du coup je vous offre une photo d'elfe a oilp'

mdr epic le lapinou^^ bon merde alors ra pri aucun de nom pas cool^^ jaurai bien aimer voir *Le Déferlemenr Skavens *en titre

Faut dire qu'il ont déferlé déjà dans le chapitre précedent...
Mais je garde le titre dans un coin de ma tête... qui me donne un bonne petite idée pour des chaoteux de Khorne . Ca se passera très certainement en Norsca (Scandinavie).

le deferlement de Khorne pas mal non plus^^

J'aime beaucoup la tournure que ça prend !

T'as vachement d'imagination, et c'est cool de poster des récits comme ça !

Avis aux autres membres : Si vous avez un peu de temps, faites-le ! Faites travailler votre imagination, cela rend votre armée encore plus belle ! Et la développe à un point que plus personne ne pourra rivaliser !

ce ce que je fait xD

Je garde : La bataille pour Port Alenthir
Le "pour" marque un peu plus l'enjeu de la bataille sans forcément donner une localisation géographique. Voici la première partie (je pense qu'il y en aura quatre ou cinq comme ça):

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La flotte elfe s’avançait vers le sud, a bord de Fureur d’Asuryan, le prince Mellion, ce jeune stratège issu d’une des familles les plus influentes de Lothern, savait mieux que quiconque mener une la guerre sur les mers, il avait réussi, grâce à sa maîtrise du terrain à couler une arche noire druchii à l’aide de quelques navires de guerre et de quelques bateaux de pêche. Cette fois, il était à la tête d’une grande armada.
Au loin on pouvait apercevoir la fumée noire s’échapper des cheminées de cuivre sur les navires Skaven. Les elfes s’affairaient autour des balistes Serre d’Aigle installées sur les flancs des navires, les immenses flèches étaient déjà pointées vers les ennemis. Les guerriers se préparaient une dernière fois avant le combat, certains priaient les dieux, d’autres gravaient des runes sur les hampes de leur flèches ou de leurs lances afin que Khaine les guide vers le cœur de leurs ennemis.
Des éclairs de magie commençaient à verdir le ciel, les armes de malepierre commençaient déjà à faire feu, bien qu’hors de portée. Le vacarme que provoquaient les hommes-rats n’impressionnait pas les asurs, qui le considérèrent comme une sorte de manifestation du manque d’intelligence des Skaven. Pour insuffler du courage à ses troupes, Mellion s’avança entre les rangs

« Mes frères, c’est pour la première fois que nous partons au combat en tant qu’elfes de Tor Anailin, c’est une raison supplémentaire pour nous de ne pas faillir au combat ! Ces viles créatures ont massacré les nôtres à Port Alenthir, croyant que nous les laisserions polluer nos terres par leur présence, que nous resterions à observer nos cités tomber, cancérisées par les rats, jamais !
Montrons leur la puissance des asur, montrons leur la colère des enfants d’Ulhuan. Laissez-vous posséder par Khaine, fendez, tranchez, tailladez vos ennemis. La dernière chose qu’ils doivent voir est la pointe de vos flèches ou le fil de votre épée ! Pour Isha, nous vaicrons ! »

Après avoir prononcé ses mots, Mellion revêtit son heaume. Sur celui-ci était représenté par des motifs d’or un elfe, terrassant une hydre le tout serti de pierres et de gemmes. Son casque avait deux rangées de plumes sur le coté, comme ceux des heaumes d’argent. Il leva son épée haut vers les cieux, les runes qui y étaient gravées s’illuminèrent d’un bleu éclatant. Tout en donnant l’ordre de faire feu de toutes pièces, des flammes bleutées sortirent de sa lame, prenant petit à petit la forme d’un phénix. La forme magique monta haut dans le ciel et fila vers la flotte Skaven.
Les flèches devancèrent le phénix magique, et allèrent fauchèrent des centaines de Skaven. Les traits qui n’avaient pas touché les rats provoquèrent cependant des dommages dans les coques des navires. L’oiseau de flammes alla s’écraser dans le plus grand des bateaux dont la proue, gigantesque, représentait un rat avec des cornes de bouc. En rentrent au contact avec l’embarcation, l’oiseau de flammes explosa, cela eut pour effet de briser le navire en deux et d’enflammer ce qu’il restait du navire, tout en tuant une bonne partie de son équipage.

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NdR & Post Scripum

Comme vous avez pu le remarquer, il n'y a ni le titre, ni d'image, c'est parce que je compte tout remettre ensemble quand je l'aurai écrit, c'est une sorte preview si vous voulez.

Autre chose, au passage en développant mes personnages, je me dis que j'ai bien fait de ne pas les peindre avant mon récit comme ça je pourrais adapter ma peinture: par exemple Mellion sera joué avec les règles de Tyrion (je sais vraiment pas comment je vais faire son casque sur la figurine maintenant... (je trouverais bien un moyen de lui faire perdre durant le combat )), Nianna avec celles de la reine éternelle,...

C'est moi ou les lignes ne passent pas sur ce message ??

ouep le casque est magnifique mai tu va galere bne chance

La flotte elfe s’avançait vers le sud, a bord de Fureur d’Asuryan, le prince Mellion, ce jeune stratège issu d’une des familles les plus influentes de Lothern, savait mieux que quiconque mener une la guerre sur les mers, il avait réussi, grâce à sa maîtrise du terrain à couler une arche noire druchii à l’aide de quelques navires de guerre et de quelques bateaux de pêche. Cette fois, il était à la tête d’une grande armada.
Au loin on pouvait apercevoir la fumée noire s’échapper des cheminées de cuivre sur les navires Skaven. Les elfes s’affairaient autour des balistes Serre d’Aigle installées sur les flancs des navires, les immenses flèches étaient déjà pointées vers les ennemis. Les guerriers se préparaient une dernière fois avant le combat, certains priaient les dieux, d’autres gravaient des runes sur les hampes de leur flèches ou de leurs lances afin que Khaine les guide vers le cœur de leurs ennemis.
Des éclairs de magie commençaient à verdir le ciel, les armes de malepierre commençaient déjà à faire feu, bien qu’hors de portée. Le vacarme que provoquaient les hommes-rats n’impressionnait pas les asurs, qui le considérèrent comme une sorte de manifestation du manque d’intelligence des Skaven. Pour insuffler du courage à ses troupes, Mellion s’avança entre les rangs

« Mes frères, c’est pour la première fois que nous partons au combat en tant qu’elfes de Tor Anailin, c’est une raison supplémentaire pour nous de ne pas faillir au combat ! Ces viles créatures ont massacré les nôtres à Port Alenthir, croyant que nous les laisserions polluer nos terres par leur présence, que nous resterions à observer nos cités tomber, cancérisées par les rats, jamais !
Montrons leur la puissance des asur, montrons leur la colère des enfants d’Ulhuan. Laissez-vous posséder par Khaine, fendez, tranchez, tailladez vos ennemis. La dernière chose qu’ils doivent voir est la pointe de vos flèches ou le fil de votre épée ! Pour Isha, nous vaincrons ! »

Après avoir prononcé ses mots, Mellion revêtit son heaume. Son casque était rehaussé par la figure d’un dragon d’or, ailes déployées. Il leva son épée haut vers les cieux, les runes qui y étaient gravées s’illuminèrent d’un bleu éclatant. Tout en donnant l’ordre de faire feu de toutes pièces, des flammes bleutées sortirent de sa lame, prenant petit à petit la forme d’un phénix. La forme magique monta haut dans le ciel et fila vers la flotte Skaven.
Les flèches devancèrent le phénix magique, et allèrent fauchèrent des centaines de Skaven. Les traits qui n’avaient pas touché les rats provoquèrent cependant des dommages dans les coques des navires. L’oiseau de flammes alla s’écraser dans le plus grand des bateaux dont la proue, gigantesque, représentait un rat avec des cornes de bouc. En rentrent au contact avec l’embarcation, l’oiseau de flammes explosa, cela eut pour effet de briser le navire en deux et d’enflammer ce qu’il restait du navire, tout en tuant une bonne partie de son équipage.
Les rats étaient maintenant proches, assez proches pour que les braves asurs puissent ressentir les crépitements des armes à malepierre qui faisaient feu. Si de nombreux elfes continuaient à se servir de leurs arcs, certains dégainaient leurs épées et commençaient à s’échauffer les muscles en faisant tournoyer les lames autours d’eux.
Les dragons et les aigles, qui s’étaient jusque là tenus à distance des ennemis, s’élancèrent soudainement, fendant les airs. Les dragons enflammaient les rats par vingtaines, les aigles fondaient en piqué pour lacérer leurs proies et reprenaient leur vol aussitôt. La célérité des attaques aériennes ne fit qu’accroitre le chaos dans les rangs Skaven. Tantôt ils essayaient de se défendre contre les attaques venues de navires, tantôt ils devaient plonger sur le pont afin d’éviter les créatures volantes.
Les mages qui flottaient loin derrière commençaient à canaliser les vents de magie, afin d’apporter la mort à leurs ennemis.
Un tir Skaven atteignit enfin sa cible, éraflant à peine la coque de L’Irrésistible, tant les runes elfiques de protection étaient efficaces.
Des soutes des navires ennemis commençaient à sortir des rats mutés de toutes formes : rats-ogres, abominations… Parmi les hordes d’hommes-rats qui avaient tapissé les ponts de leurs embarcations un groupe se détachait des autres, une assemblée de rats vêtus de robes grises s’étaient réunis et entonnaient des chants d’invocation.
Les navires n’étaient plus qu’à quelques centaines de mètres les uns des autres, et les Chasseurs de Tor Anailin, brandissaient lourdes haches vers les Skaven en signe de défi.
Ethrilis et les autres mages, qui avaient senti la perturbation magique dans l’air à cause des prophètes gris, firent signe à Mellion, lui indiquant qu’à tout prix ils devaient empêcher cette magie impie. Mellion fit appel à une dizaine des meilleurs épéistes, quelques chasseurs, et demanda le soutien aérien d’un prince dragon.
Les planches d’abordage Skaven s’abattirent avec grand fracas sur Fureur d’Asuryan, le groupe de Mellion saisit aussitôt l’occasion et s’élança dans la masse. Les coups d’épées des elfes découpaient les rats en deux à une vitesse impressionnante. Les chasseurs s’occupaient quand à eux des cibles plus massives, leurs puissantes haches leur permettent d’ouvrir la cage thoracique des rats-orges. Pendant que le prince avançait vers les prêtres gris, les autres elfes avaient décidé de rester sur la défensive, pour ne pas se retrouver encerclés à bord des navires elfes. Les hordes des guerriers rats qui tentaient d’aborder les vaisseaux elfiques, se heurtaient à un mur infranchissable de lances et de boucliers. Ces phalanges ne présentaient aucune ouverture, et embrochaient les ennemis dès qu’ils s’approchaient. Juste derrière les lanciers se tenaient quelques lignes d’archers qui lançaient des salves mortelles de tirs. De temps en temps les phalanges s’ouvraient et des guerriers sortaient des rangs pour retenir le flux d’ennemis le temps que les lanciers enlèvent les cadavres entassés au sol et sur leurs lances, puis rentraient à nouveau dans les rangs.



A Port Alenthir, les tunnels des Skavens avaient provoqué de nombreux effondrements, submergeant la partie basse de la ville. Plein de petits groupuscules, d’une demi-douzaine d’elfes chacun, s’étaient organisés indépendamment contre l’envahisseur. Ces elfes n’avaient aucune chance dans un affront direct, ce qu’il fallait faire, c’était des frappes chirurgicales, rapides et précises contre des ennemis isolés. Enveloppés dans d’immenses capes, ils rôdaient dans les ombres prêts à frapper. Tantôt ils faisaient tomber des flèches pour se débarrasser d’un petit groupe de rats, tantôt ils apparaissaient dans le dos de leurs ennemis pour les transpercer de leurs lames.
La ville était plongée dans le silence, seul le bruit des patrouilles désorganisées des Skaven et un bruissement d’ailes étrangement fort brisaient la quiétude des lieux.



à retravailler

Mellion était tout proche des prophètes gris, mais les rats entre le prince et son objectif semblaient de plus en plus nombreux et de plus en plus imposants. Les premiers hommes-rats que Mellion avait dû combattre étaient plus petits qu’un humain, maintenant il n’affrontait que des rats d’à peu près sa taille. Le groupe se taillait malgré tout son chemin, tandis que les crépitements de magie noire s’ajoutaient à la diversité des bruits de la bataille. Une explosion de fumée verte aveugla l’espace de quelques instants le jeune prince. Dans la fumée une silhouette gigantesque se dessinait, sur sa tête d’immenses cornes, ses yeux d’un vert émeraude, lançaient un regard malsain vers l’elfe… La créature émanait une aura qui fit redoubler les rats d’efforts pour tuer les elfes, tel était la puissance d’un Verminarque.
L’avatar du Rat Cornu vint se placer devant Mellion. Encore masqué par le nuage de fumée, seule son épée gigantesque qui pendait le long de ses cuisses était nettement visible. La lame était émoussée et même rouillée par certains endroits, des runes Skaven y étaient gravées tout le long. Le manche, étrangement long pour une épée, semblait avoir été recouvert de chair humaine. Le pommeau était un gros fragment de malepierre. La fumée commençait à se dissiper et l’on pouvoir dorénavant apercevoir le corps du Verminarque, son corps était étrangement nu par rapport à la pilosité des autres rats, et de nombreuses scarifications étaient visibles sur tout son corps. La masse de muscles du Verminarque s’agita, et son épée se dirigea droit sur l’elfe. Mellion para le coup de justesse, et s’empressa de riposter. Malgré sa carrure imposante le Verminarque était d’une agilité sans précédant, il semblait presque savoir où l’arme de Mellion frapperait. Le prince quand à lui arrivait à peine à éviter les coups puissants du démon et était obligé de reculer petit à petit.
Les autres elfes contenaient les vagues de rats, appuyés par les mages sur l’îlot volant ainsi que les souffles enflammés des dragons. Nianna D’Avelorn préférait, contrairement aux autres mages, lancer des sorts de soin et de protection sur les guerriers qui, sous le poids du nombre, commençaient à sentir la fatigue…
Le combat entre Mellion et le rat-démon commençait à s’éterniser et le Verminarque dominait la situation, il avait déjà réussi à toucher l’elfe aux côtes.
Les coups du rat massif frôlaient le prince à chaque fois, manquant de le tuer.

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Il ne lui restait plus qu’une solution utiliser la gemme, cette même gemme que lui avait donné son père et qui avait été transmise depuis de génération dans la famille. Il ne devait l’utiliser qu’en grand dernier recours, et il semblait que la situation était propice.
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Pour ce qui est de cette 'fin' , ça fait un déjà vu quand même... je suis en train d'essayer de fondre tout ça un peu plus...

J'ai des nouveaux artworks qui démontent j'updaterais tout ça dans le post 1 quand j'aurais pas la flemme :p